Je le fit reculer.
-Désolée, je.. C'est venu comme ça.
Je me leva, et ouvrit la porte.
-pArs.

J'haussais un sourcil.
- Hey. Tu m'embrasse et après tu me jette dehors ? Nan, j'suis pas d'accord.

Je soupira.
- j'ai fait une bêtise. Je m'en excuse.
Je baissa les yeux. En plus ce type est un démon! Je n'ai pas le droit de m'en approcher..

Je m'avançais vers elle et la regardais.
- Qu'est-ce que tu as contre les démons ?

Je frémit.
- tous sont des tueurs.

Je gardais un regard intense sur elle et la regardais dans les yeux.
- Peut-on vraiment, les traiter de tueurs si c'est pour leur propre survie et à leur insues lors de leurs pulsions qu'ils deviennent des "tueurs" ?

Je ne pu suporter son regard et baissa les yeux.

- Oui. Les morts n'y étaient pour rien.

Je regarda la nuit noire dehors.

Je continuais de la fixer.
- Je ne tue pas par plaisir, mais par besoin extrême. Et je n'ai pas choisi d'être un démon. Je suis né comme ça. Et crois moi, je n'en suis pas fière.

Je soupira.

- Justement, pars. Je veux pas d'un tueur chez moi. Encore moins un démon.

Je frisonna, et pris un pull.

-à ta place je me serais sucider.

Je me mis à rire.
- Suicider ? Ma pauvre, tu ne sais pas que les démons sont pour ainsi dire immortel ? Il ne peuvent se suicider.

Je le gifla, sans réflechir.

-Arette de dire ma pauvre ! Je m'en fou de votre vie, vous etes tous des tueurs, des idiots, des abrtuis, des..

La claque ne me fit pour ainsi dire pas mal, mais ce qui me fis enfaite mal, c'est qu'elle l'es donnée.
- Okay. Adieu.
Oh et puis tans pis, j'allais pas perdre mon temps a essayer de convaincre quelq'un qui a une si petite ouverture d'esprit.
Sur ceux, je sortit et claqua la porte d'un grand coup. Me retrouvant sur le palier, je soupirai et consultais mon téléphone portable qui affichait : 0 nouveaux messages.
Qu'est-ce que j'allais bien pouvoir foutre ? Dormir ? Je dormais très peu.
Rentrer chez moi ? Mouais...
Sur ceux, je m'avançais dans la ruelle.

Je sursauta lorsqu'il claqua la porte. La délicatesse n'a jamais tuer personne.. Je soupira et m'assis contre ma porte. Quel con franchement..! Je regrettais pourtant la gifle, et de m'être emportée. Zut !

Je ferma les yeux.

Je continuais de marcher et voulu allumer une cigarette, je fouillais dans ma poches et...
Oh merde ! Je les avaient oublié chez elle. Ah ! Quel ... Crétin je fais !
Je soupirais et revint en arrière, je re toquais chez elle.
° Fais chier...°

Je l'entendit revenir. Ha, le blaireau : si il crois que je vais ouvrir, il se fourre le doigt dans l'oeil jusqu'au coude !

Je me fis silencieuse sans bouger, dos à la porte.

Je soupirai.
° ah ! elle veut pas m'ouvrir TT°
Je lui envoyais par télépathie.
° J'ai oublié mes clopes ! °

Je soupira doucement, faisant comme si j'avais rien reçu.

°il peut toujours creuver, non mais la pauvre elle s'en fou de ses clopes >.< °

Je soupirai.
- Chieuse !
Tans pis, j'ouvris la porte avec ma force phénoménale et entrait.
- M'en fou de ton interdiction de rentrer.
Je pris mes clopes et sourit.
- Mes chéries !

Je fu projetée en avant lorsqu'il ouvrit la porte.

- non mais ça pas bien ta tête?!

J'était alongée par terre, décoiffé, un démon dans mon salon. Super.

- prend tes amours et laisse-moi tranquille..

Je fourra ma tête dans mes bras, face au sol.

J'hauchais la tête.
- C'est ce que j'allais faire tu croyais quoi, que j'allais resté ici ?
J'allumais de suite l'une de mes chéries et me dirigeait vers la porte.

Je soupira et ne répondit pas. Ce démon m'énervait tellement que je l'appréciais au final je crois. Du coup autant l'ignorer, cette lubia allais bien me passer.

Je réfléchit.
Soit je partais et j'allais m'ennuyer je ne sais où, soit je restais et m'amusais à la faire rager.
Hum ! C'est tout réfléchit !
Je m'assit devant elle.

Je leva ma tête pour voir si il partait et le vit juste devant moi. Merde.

Je replongea dans mes bras chaud à cause du pull, l'ignorant. Il allait bien se lasser.

Me lasser ? Ah nan ! Au contraire, plus elle m'ignorais, plus je m'amusais.
Je continuais de fumer, jouant avec un mèche des cheveux de celle ci.

Je frappa sa main, et repris ma mèche de cheveux, la glissant derrière mon oreille, toujours silencieuse, sans lever le regard. Bon, il va partir maintenant oui ou non?!