La cuisine était dans un sale était. Il y avait des morceau de verre partout et des assiettes cassées rependues dans la pièce. Des casseroles se trouvaient à terre et Mars était plus loin, les oreilles baissées, couinant.
- Bad ! Grogna Kana.
Il soupira et regarda Ichiro.
- Ca va...
Il s'approcha de lui.

J'haussais un sourcil.
- Je vous demande pardon ?!

Mon père répéta.

-sortez d'ici et n'approchez plus ma fille avant de faire des choses peu convenante avec elle, monstre !

Il m'attrapa le bras, me fit assoir sur une chaise.

-toi, tu va devoir m'expliquer..

Je lança un regard trsite et supliant à Jack.

Je soupirai.
- Je vois.
Je passais un main dans mes cheveux étrangement encore mouillés.

Mon père fit comme si il lui avait déjà obéit, et me sermonna :

- Naïssa, c'est un démon, ou avait-tu la tête..!

Je baissa les yeux, mais les relevas pour chercher le regard de Jack du miens. J'étais désolée que mon père soit à, qu'il soit venu...

- Adrien était trist,e demain soir tu mange à la maison, avec lui et ses parents et ta mère et moi. Tu l'épouse dans un mois.

J'allumais une cigarette et soupira.

Je secoua la tête.

-papa, je ne l'aime pas et les mariages arrangés sont fini depuis des siècle !

Je me leva, et alla chercher un peu de réconfort dans les bras de Jack, même si j'eus peur qu'il m'ignore : qui ne tente rien n'a rien.

Je la laissais faire et la prenait dans mes bras.
// C'est rien va // (<--Transmission de pensées)

Je sursauta à la pensée, mais essaya de répondre en pensant fort.

// Tu comprend..? Désolée en tout cas.//

Mon père s'égosilla :

-Monsieur, enlever vos sale pattes de bouffeur d'âme de ma fille !

Il sortis un couteau, et j'étouffa un cri.

-Papa ! arette..

J'embrassais le front de Naïssa et m'approchais de son père.
- Monsieur, soyions raisonnable.

J'étai plantée là, les bras ballants. Mon père répliqua.

-j'espère au moins que vous n'avez pas eu l'affront de coucher avec elle, chien !

Il s'approcha, le bras tendu, le couteau dans la main.

Je souris, tachant d'être le plus calme possible.
- Mes expériences sexuelles ne vous regarde pas.
Je me rapprochais encore et touchait la pointe de son couteau.

C'en fut trop pour mon père, qui appuya sur le couteau, pour le blesser.

Je ferma les yeux par réflexe, portant une main à ma bouche. Mon père lança :

-Petit chien galeux, assasin !!

Le couteau plia sur ma peau. Je soupirai et le regardais.
- Calmez vous monsieur, je ne cherche pas la guerre.

Il équarquilla les yeux.

- vous comptez baiser la chair de ma chair et la bouffer après hein?!

Je cria.

- Papa!

Il mis une droite à Jack.

Je pris son poing entre mes mains bien avant qu'il ne m’éteigne.
- Très bien. Je crois que vous ne m'avez pas compris. Je ne cherche pas la guerre. Mais si vous continuez, je serai obliger de vous fendre en deux. Alors calmez vous ou partez.

Je cria, et s'interposa entre eux deux.

-stop ! on dirais deux gamins..

Mon père me repoussa, et me gifla.

-Je t'avais mieux élever que ceci Naissa. Tu a toujours été extravaguante, mais si je dit à ta mère et tu vois ce truc, elle va mourrir de honte !

Il pris le col de Jack.

-dégage !

Moon arrivas devant un immeuble. Un appartement était à loué. Elle regardas. Elle vais déjà signer le contrat avec le propriétaire. Elle entras, & déposas ses affaires, puis elle repartit pour aller voir les lieux.

S'en était trop, on ne touche pas à ma Naïssa.
Je le repoussais d'un coup violent et épousta ma chemise.
- Okay. Vous avez choisi l'option la plus débile.
Je le prit par le col et le souleva en l'air.
- Je ne toucherai pas à vote fille sans son consentement, voilà ce que je peux vous promettre.

Il hurla.

- et bien elle n'est pas consentente alors ! hein mon bébé?

Il voulais se rachetter aux yeux de naissa, ne voulant pas perdre la face.

Je secoua la tête.

- pars papa, arette de te mêler de ma vie..

Je partit en courant dans ma chambre, la joue rouge.

Je soupirai et reposais le père à terre.
- Au revoir Monsieur.

Le père claqua la porte, murmurant des injures sur ce démon manipulant sa fille.

Je pleurais doucement, blessée intérieurement plus que physiquement.

Je toquais à la porte de la chambre de Naïssa.
- Naïssa... je peux rentré ?

Je m'assit sur le brod du lit, et répondit.

-Oui oui.

J'entrais dans la pièce et la vit trempée de larmes.
- Oh...
Je la serrais dans mes bras.
- Je suis désolé...